A l’approche des épreuves, votre enfant commence à ressentir la pression. Pour l’accompagner au mieux pendant cette période déterminante, les parents ont aussi un rôle à jouer.
Qu’il s’agisse du brevet, du baccalauréat ou, plus tard, des partiels et autres épreuves de fin d’année, les jeunes ont la tête dans le guidon – ou plutôt dans leurs cours ! Vous ne pouvez pas travailler à leur place, mais votre présence et votre soutien sont essentiels.
Dans un premier temps, aidez votre enfant à se concentrer sur son travail. S’il n’arrive pas à se discipliner, vous pouvez contrôler son accès aux sources de distraction possibles (télévision, ordinateur, sorties, téléphone…).
Portez un soin particulier aux repas. Une alimentation équilibrée est indispensable pour être au meilleur de ses facultés intellectuelles. Oubliez les excitants comme le café ou les boissons énergisantes qui déséquilibrent le système nerveux.
Optez plutôt pour une nourriture saine : eau citronnée et jus de fruits pour leur teneur en vitamines, glucides lents (pâtes et céréales) pour éviter les coups de pompe, poisson et graines de sésame pour le cerveau… sans oublier quelques plaisirs de temps en temps !
Ne soyez pas sans arrêt derrière lui
Le sommeil est aussi un allié indispensable pendant cette période de fatigue intellectuelle. Votre enfant a besoin de recharger ses batteries pour mémoriser ses cours : imposez-lui des horaires de coucher et de lever raisonnables, et limitez les sorties en soirée.
Pour favoriser l’endormissement, vous pouvez lui suggérer de ne plus utiliser d’écrans, passé une certaine heure : en effet, la lumière bleue émise par l’ordinateur, la télévision ou le téléphone empêchent de bien se préparer au repos.
Enfin, gérez votre stress pour ne pas l’angoisser plus qu’il ne l’est déjà ! Ne l’inondez pas de questions, ne soyez pas sans arrêt derrière lui et ne lui montrez pas votre inquiétude.
Evitez de parler uniquement de l’école. Il pourrait se sentir sous pression et perdre ses moyens le jour J. Pour lui comme pour vous, pensez aux médecines naturelles : la phytothérapie, l’aromathérapie ou la sophrologie peuvent vous aider. A vous de jouer !
Source: http://www.caf.fr – 8 juin 2017